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Won’t you came see about me? I’ll be alone, dancing you know it baby.
Treacherous/tumblr ~ music is life.

- nom : Williams, je sais, comment fait-elle pour avoir un nom si commun? Je vous répondrai, on fait avec les amis... - prénom : Liliya, mais tout le monde m’appelle Lya alors à force, j’utilise Liliya juste administrativement. - âge : J’ai 24 ans maintenant. Oui, les années passent vite.- nationalité et origine : Je suis née à la Nouvelle-Orléans, mais ne vous y méprenez pas, j’y ai pas vécue toute ma vie et je ne suis pas originaire d’ici. Mon père est un américain, mais ma mère est Russe. Ils se sont rencontrés parce que mon père voyage beaucoup pour le travail. - situation amoureuse : L’amour, c’est compliqué. Que tu sois en couple ou pas, au final il y a toujours quelque chose qui cloche... - occupation : J’enchaine les stages dans les labels de la Nouvelle-Orléans, question de m’y faire une place, mais à côté je vis grâce aux petits boulots. Présentement, je suis serveuse à l’aéroport, alors ils me font porter un uniforme... - race : Humaine, mais un peu particulière parce que je suis persuadé d’avoir un don de la nature. - orientation sexuelle : Je suis bisexuelle, mais je préfère nettement les hommes. - particularité: Mon pouvoir c’est la musique, j’arrive à mémoriser des mélodies à l’infinie. J’ai commencé par faire des mix entre les différentes chansons. Juste en entendant une chanson je connais son tempo comme un métronome intégré, dès les premières notes je peux savoir de quoi ce morceau comportera. Mais est-ce que ça ne vient pas plus de la pratique? Tout ce que je sais c’est que quand j’écoute une chanson je vois les notes apparaitre devant moi. Quand j’écris une chanson, je vois les notes et les rythmes comme s’ils étaient matériels, puis je peux aisément les réorganiser pour exprimer une émotion, une couleur, une image. Le travail d’une vie quoi! - célébrité : Anna Kendrick la plus que magnifique.

(+) Depuis combien de temps êtes-vous à la Nouvelle-Orléans ? Pourquoi être venu(e) ? Je suis née ici et je n’ai pas envie de partir, c’est le monde du jazz et des arts. Je peux aisément vivre avec la musique dans cette ville. (+) Avez-vous déjà assisté à des choses étranges dans la ville ? Attend, vous blaguez? Comme dans toutes les grandes villes il se passe des trucs fou, comme magique parfois. Il suffis juste de savoir où regarder. Par exemple, hier il y avait un homme au beau milieu de la rue coucher en pleine heure de pointe et toutes les voitures l'ont éviter de justesse(+) Avez-vous déjà été victime de quelque chose que vous n'expliquez pas ? Je suis quelque chose que je n'explique pas. Parfois, c'est comme si je voyais des choses magiques au travers de la musique, mais bon je fais pas voler des plume comme dans vampire diaries non plus. On vit dans la réalité pas la fiction. (+) Vous sentez-vous bien en Nouvelle-Orléans ou voudriez-vous en partir ? C'est mon territoire ici. Les gens sont super, c'est un peu comme un retour au source et puis avec l'univers artistique de la ville, pourquoi je voudrais partir?  (+) Êtes-vous conscient de ce qui se trame ? Ce qui se trame? Vous allez pas me dire qu'on va avoir droit à un attentat à la bombe nous aussi? Boston c'était pas assez? - crédit avatar: goldcrest. -

☆  Sarcastique.  ☆  Souriante.  ☆  Lunatique.  ☆  Énergique.  ☆  Aime chanter. ☆ Elle vit pour la musique, ce qui fait qu’elle enchaine les petits jobs et les stages dans les labels. ☆  Elle a tendance à pincer les lèvres ☆  aime pas écouter la fin des films ☆ Elle a de la répartie ☆ Elle est amie avec des gens bizarres ☆ Lorsqu'elle aime quelqu'un c'est tout ou rien. ☆ Possessive et un peu jalouse ☆

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we all need a little help sometimes...
crédit ~ quote/titre.

«Liliya! Vient ici immédiatement!» Gronda ma grand-mère. J’avais encore étendue de la farine partout en préparant des gâteaux à la mélasse. Ramasser c’était trop nul, alors je m’étais dit que je le ferais plus tard! Je pointe le bout de mon nez dans le cadre de porte de la cuisine : «Ouiiii?» Dis-je terrorisé par ma grand-mère. Quand elle était en colère, elle était terrifiante, mais quand elle était de bonne humeur, c’était la meilleure grand-mère du monde. En plus, c’était la plus grande cuisinière du monde! J’étais l’enfant la plus chanceuse au monde de vivre avec elle. Même si c’était sans papa et maman. «Tu vas me ramasser tout ça, jeune fille! Hors de question que ça soit moi à nouveau!» Dit-elle les mains sur les hanches et l'air sévère. Alors, j'hoche la tête frénétiquement et va chercher la balayeuse que j'arrive à peine à bouger parce qu'elle est aussi lourde qu'un éléphant!

«Ne vous inquiétez pas, il n’y a que cent accidents d’avion par année. Alors calmez-vous!» Dis-je à l’homme assis à côté de moi. Il paniquait et l’avion n’avait même pas décollé. Imaginez la route quand on se dit qu’on doit traverser l’océan à côté de quelqu’un comme ça. Étrangement ce que je lui ai dit sembla l’affoler encore plus : «Je prends l’avion une dizaine de fois par année et il est jamais rien n’arrivé.» Dis-je essayant de le rassurer cette fois. Il me regarda finalement de haut en bas : «Mais tu as quoi? 7 ans?» Dit-il surpris «Non j’ai 8 ans et demi monsieur et ma maman est Russe donc quand je vais la voir. Je prends l’avion!» Dis-je souriant vu qu’il avait arrêté de me stresser : «Toute seule? Non, mais qui laisse une enfant de 8 ans prendre l’avion seule?» «Et demi! 8 ans et demi!» Dis-je offusqué qu’il me rajeunisse. «Et mon papa voyage partout autour de la terre, comme un super espion, mais lui il vend de l’argent imaginaire pour une bourse grosse comme un édifice. Il parait que c’est remplis d’or et de chiffre comme un trésor!» Dis-je émerveillé par l’idée que mon papa soit un homme d’argent. À cette époque je  ne comprenais pas ce qu’était des actions ni que la bourse c’était un vrai édifice et non pas un portefeuille. Depuis que j’étais toute petite je voyageais entre la Nouvelle-Orléans et Moscou et ça a continué jusqu’à ce que je sois très vieille en fait. J’avais peut-être 16 ans quand j’ai arrêté d’aller voir ma mère dès que j’avais un congé plus long que trois jours.

«Désolé madame, j'étais totalement dans les vapes à cause de l'odeur abusive et intoxicante du parfum de Coralie, assise devant moi.» Dis-je pour justifier que je n'écoutais pas. Mes parents me payaient des cours dans un institut privé, mais toutes ces petites garces riches... ce n'était pas pour moi quoi... La dite Coralie se retourna vers moi justement pour me lancer un regard aussi noir que le maquillage qu'elle mettait autour de ses yeux : «Désolé, je ne suis pas habituée à l'odeur de raton-laveur...» Dis-je avec arrogance. Il suffisait juste que je dise ces mots pour déclencher la colère de la reine des stupides abeilles... Elle devint violente comme à son habitude avec moi. J'en avais rien à faire au final c'était elle qui était puni alors que je me ramassais parfois avec un bleu. De toute manière, quand je rentrais chez ma tante et mon oncle, j'avais l'air plus solide. Comme on dit de faire partie d'une des familles les plus importantes m'attiraient la jalousie des autres... Si seulement ils savaient...

«Bonjour, mon oncle!» Dis-je rentrant chez lui pour aller voir les filles. Mais avant de croiser l'un des enfants, je vis ma tante à qui je souris et je la saluai. Ma grand-mère donc la mère de me tante avait insisté pour que j'aille leur porter une tarte aux cerises qu'elle venait de faire avec des épices qu'elle faisait pousser. Je déposai le tout sur le comptoir de la cuisine et expliqua le tout à ma tante avant de partir pour l'école. J'étais maintenant rendue dans une école publique et je préférais ça de loin. Ça me permettait de voir qui je voulais quand je le voulais à l'extérieur des murs de mon établissement scolaire. D'ailleurs, ça m'avait permis de voir mes cousines et mon cousin plus souvent. Je finis par me garer dans la cour de l'école et je souris à mon copain allant l'embrasser rapidement avant de rejoindre mes amies. «Bonne journée!» Dis-je seulement après avoir quitté ses lèvres. Les filles m'attendaient devant la porte, alors autant ne pas les faire attendre inutilement. Surtout, que je voulais connaitre tous les potins de la fin de semaine avant la première période, soi mission impossible 5. J'aimais bien faire partie d'un groupe d'ailleurs, mon cynisme était pratique quand un looser nous cherchait des noises.

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Take a shot for me...
crédit ~ quote/titre.

L'entrée à l'université, le jour que tout le monde attend. Pour moi, c'est simplement un recommencement. Fini les pestes, fini les adolescents, bonjour le monde adulte, les responsabilités, les hommes... Bon, je n'avais pas choisi de venir à l'université. Mon père m'y avait un peu obligé. Selon lui, pas de diplôme, pas d'avenir. J'imagine que c'est sa manière de s'occuper de moi à distance. J'observai les bâtiments autour de moi et soupire. Trois ans enfermés ici. J'allais donc devoir trouver quelque chose pour passer le temps... «Aie!» Je venais d'échapper mon carton sur le béton quand je sentis un bras m'entourer la taille rapidement pour m'éviter de tomber également. Je me retournai rapidement pour voir qui m'avait percuté. «Les gens s'excusent normalement...» Dis-je alors qu'il me regardait sans rien dire. «C'est bon tu es pardonné tu peux continuer ton chemin.» Dis-je m'éloignant du brun pour ramasser mon carton tombé par terre. Il se pencha également puisque je vis ses mains m'aider: «Désolé, j'avais les pensées ailleurs...» Je roulai des yeux et pris mon carton: «Fais plus attention la prochaine fois.» Dis-je simplement reprenant mon chemin vers mon dortoir ne lui accordant aucun regard.

«Hey!» Attendis-je crier derrière moi. C'était une belle journée sur le campus alors les chances pour qu'on s'adresse à moi était faible. Je continuai donc mon chemin. Puis, la voix spécifia : «La fille au carton!» Alors, je fronçai les sourcils et me retournai. «C'est à moi que tu parles?» Dis-je alors qu'il posait une main sur mon épaule. «Oui toi! Ça te dirait de travailler à la radio de l'université?» Me dit-il pleins d'espoir. Je fronce les sourcils et le regarde un peu croche : «J'ai l'air d'avoir besoin d'un emploi?» Dis-je attendant de voir sa réponse : «Non, mais moi j'ai besoin d'une collègue pour m'aider et j'avais vu des vinyles dans le carton que tu as échappé.» Dit-il se rattrapant. Je l'observe un instant réfléchissant : «D'accord, c'est pour quoi?» Dis-je. Après tout, faire un peu d'argent et être entouré de musique c'était parfait quoi!


«Lya! Amène-toi!» Dit-elle me souriant. J'éclate de rire et suit la rouquine : «On fait quoi aujourd'hui?» Dis-je voyant qu'elle se dirige vers le gymnase. Elle me sourit : «Tu verras!» Dit-elle comme à son habitude. Elle ouvre le gymnase grâce à sa clef personnalisée, puis barre la porte derrière nous. Alors, je la vois courir jusqu'à l'autre bout du gymnase et partir la musique, alors que je m'avance vers les trampolines géants qui trône au milieu de la pièce : «Tu m'explique?» Elle sourit et prend ma main me tirant sur les trampolines : «Laisse toi aller!» Dit-elle riant alors qu'elle saute dans les airs. Je la regarde faire un instant avant de sauter bêtement. Puis, je me laisse emporter par la musique et le fait de flotter dans les airs quelques instants. Alors, je saute et je saute jusqu'à ce que j'entende Sophia me dire de venir à la douche. J'étais effectivement pleine de sueur à force de sauter. Je descends du trampoline et la suit jusqu'au vestiaire. Elle va dans un des casiers et nous sors du savon. Alors, j'en prends un des deux et va sous un des jets refermant les toiles autour de moi. Puis, j'entends mon rideau s'ouvrir et je me dépêche d'attraper une serviette pour l'enrouler autour de moi. Je me retourne et la voit me sourire : «Oui?» Dis-je un peu mal à l'aise. Elle sourit d'autant plus, puis se rapproche de moi pour m'embrasser. Je reste surprise, mais au final c'est agréable

«Ok, ça c'était vraiment nul! Maintenant on fait tout le contraire sur scène, parce que c'est maintenant ou jamais!» Je regardais les autres membres du groupe et je souris. C'était ma dernière prestation avec eux. Je terminais l'université. Alors, autant tout donner... Je suis montée sur scène puis j'ai donné le meilleur de moi-même. J'avais fait tous les arrangements et j'aimais le résultat final. C'était juste pour la chorale que j'avais terminé mon diplôme. Je vis Andrew, le mec qui m'avait foncé dedans il y a trois ans, dans la salle. Je restai surprise, mais l'important c'était la compétition. Alors, je me ressaisie rapidement. Je fis un tour et fis un signe de tête à Sophia pour qu'elle voie ce que je voulais dire. Ah! Et Sophia et moi, c'est resté de l'amitié, faut pas se méprendre. Bon ok, on a eu des relations, mais au final, je crois que les hommes m'excitent vraiment plus. Ça lui va à elle aussi. On termine le mix, puis on se regarde et on se glisse en coulisse. Alors là, je ne peux m'empêcher de sauter au cou des gens qui ont été comme ma famille pendant trois ans. Trois merveilleuses années de folie.

«Hey Dydy! Dernière journée de travail!» Dis-je lui faisant une grimace. Pendant mes années d'université, j'ai travaillé à la radio avec Andrew et ça a été une excellente expérience. À un moment j'ai même eu une relation amoureuse avec lui. Mais bon au final, il ne correspondait pas tout à fait à ce que je cherchais dans la vie. Pourtant, il me faisait rire, même quand je ne voulais pas. «Tu sais ce que tu vas faire maintenant?» Me demande-t-il plein d'espoir d'avoir une réponse toute faite comme tous les nouveaux diplômés. «Non aucune idée! J'imagine que je vais y aller au hasard pour finir par trouver ce que je veux faire.» Dis-je simplement continuant à m'affairer à la tâche qui avait fait notre quotidien. «Super ça! On va pouvoir être amant, ou meilleurs amis...» Dit-il me faisant un clin d'oeil. C'était fou de me dire que je quittais Dydy aussi. D'ailleurs ce surnom, il le détestait. Au final, j'allais garder contact avec lui, mais moins régulier que pendant l'université.

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Now it's time to face hard life.
crédit ~ quote/titre.

«Vous allez bien demoiselle?» Je me retourne lentement et manque de tomber coucher sur le béton où je suis assise. «Oui, pour... pourquoi?» Dis-je le voyant flou, mais mon oeil avait cru discerner un insigne ou un genre d'uniforme. «Aller vener, nous allons vous reconduire chez vous!» Je fronce les sourcils : «Mais j'ai rien bu...» Dis-je faisant un grand sourire. «Oh aller, c'est mon party de fin d'université...» Dis-je essayant de faire une tête mignonne. «Aller vener. C'est mieux pour vous!» Dit-il me soulevant de terre pour m'emmener je ne sais où. «Vous êtes mignon...» Dis-je maintenant que je pouvais voir son visage correctement. Il est même vachement sexy. «Vous allez me porter où?» Il rit : «Chez vous, j'ai dit et merci pour le compliment, j'imagine que vous devez être belle avec les idées claires...» Je rougis un instant : «J'habite sur Bourbon Street!» Il rit :«On est sur Bourbon Street...» J'hoche la tête, mais ça me donne l'impression que la terre en entier bouge. « Je sais, j'habite à côté du bar...» On a donc fini par trouver mon appartement et il m'a monté dans ma chambre me préparant tout pour dégriser avant de partir comme un bon citoyen. Il aurait pu me voler, me violer, il aurait pu faire n'importe quoi, mais non...

«Il y a quelques semaines, j'ai eu la chance de rencontrer une femme merveilleuse. Mon ami lui a rencontré sa perle, il y a plusieurs années. Aujourd'hui, ils se marient et ils remplissent la vie de tous leurs amis, leur famille et leurs proches d'un bonheur immense comme à leur habitude. Tous nos voeux aux époux!» Dit-il alors que je l'écoutais souriante. Il se rassit et m'embrassa tendrement avant de prendre ma main dans la sienne. Ce mariage était magnifique. Les gens étaient tellement drôles et chaleureux. J'étais contente d'être une partie de sa vie. Pourtant, c'était loin d'être gagné d'avance, mais j'imagine que j'avais su me faire valoir après notre rencontre horrible. Après les discours, il m'emmena danser avec les mariés. Je n'avais jamais autant ri. Ma vie avec Lucas était remplie de joie et de bonheur. Alors qu'on dansait un slow il vint me chuchoter à l'oreille qu'il m'aimait et je souris encore plus «Moi aussi, je t'aime Lu...»

«Lucas?» Appelai-je dans la maison. J'étais stressé, vraiment stressé. Je devais lui parler sérieusement et ça n'allait pas être facile. Je ne savais même pas s'il en avait envie. Et comment lui dire ça? «Salon!» Me cria-t-il en retour. Alors, je le rejoins et le regardai stressé me triturant les mains : «Salut...» Dis-je anxieuse pour une des rares fois de ma vie. «Qu'est-ce qui se passe?» Demanda-t-il immédiatement en voyant mon expression. J'essayai de parler, mais rien ne sortait alors je fouillai dans mon sac et sortis le test de grossesse que je déposai sur la table de salon devant lui. Il me regarda pleins d'interrogations. Ça ne faisait que quelques mois qu'on était ensemble. Alors, aucun de nous ne s'attendait à ça. «Il est positif... Et les trois autres aussi...» Dis-je pour appuyer que ce n'était pas un seul. Un sourire illumina son visage et je me détendis alors qu'il se leva pour venir me prendre dans ses bras. Il posa ensuite une main sur mon ventre tout en posant ses lèvres sur les miennes. Puis, il alla chuchoter à mon oreille : «Dis-moi que tu veux le garder sinon je pète un câble!» Dit-il en riant. J'hochai la tête positivement. Le stress finalement passé laissant place au bonheur.

Tant de douleur, juste de la douleur... La douleur et la peur. Les lumières aseptisées qui lance un destin lugubre à venir. Les murs reflétant le froid des yeux des chemises stériles. Le brouillard finissant par venir me couvrir de ses bras réconfortants. Je vois du blanc partout. Ah non, un truc flou aussi. Puis, je penche la tête et voit des silhouettes m'entourant. Je reconnais mon meilleur ami à mon chevet. Alors, je cherche Lucas, mais c'est le médecin qui s'avance vers moi qui coupe mes recherches. «Re-bienvenue parmi nous mademoiselle Williams!» Dit-il avec la mine grave. «Vous êtes tiré d'affaire. Vous allez bien ne vous inquiétez pas. Seulement, vous avez eu plus de chance que votre foetus...» Dit-il doucement. Quoi? Mon foetus? Il a quoi mon bébé? Puis, je me tourne vers Dydy et il sert ma main. Alors, ça s'éclaire en moi et je me fige perdue, paralysée. Après quelques minutes, je regarde le médecin qui est toujours là. «Où est Lucas?» Dis-je me demandant s'ils l'ont prévenu. Le médecin grimace : «Après qu'on l'ait appelé, il a eu un accident en venant ici...» Dit-il lourdement. «Il est dans quelle chambre?» m'empressai-je de demander. Je voulais être près de lui, j'avais besoin de lui. Le médecin me regarde et hoche la tête négativement. La douleur revient, mais différemment. C'est pire, c'est mon coeur qu'on a percé cette fois... Je n'avais jamais ressentie une douleur aussi intense.


«M. Williams, s'il vous plait!» j'attendais que mon père réponde. J'ignorais il était où dans le monde en ce moment, mais comme il travaillait à son compte je pouvais compter sur lui pour oublier d'être moi. Son job était le genre automatique, pas besoin d'émotion, pas besoin de penser. Juste de taper. Du moins, le job que je voulais auprès de lui. Il allait faire ses ventes et je remplirai les rapports. Ça me permettra d'oublier. De passer à autre chose, de remplir un peu se vide qui me poursuit. «Liliya?» Entendis-je mon père répondre me tirant de mes pensées. «George, j'ai besoin de toi!» Dis-je simplement tentant d'être froide. Après quelques minutes de discussion, je finis par le convaincre.

Ça allait faire un an que je parcourais le monde avec mon père quand j’ai décidé d’arrêter. Il était temps que je retourne à la maison. Il était temps que je recommence à vivre…Alors, j’ai appelé mon ancien locataire et après plusieurs autres appels, j’ai trouvé un appartement en ville. Puis, j’ai trouvé un emploi à l’aéroport, puisque maintenant je les connais bien et j’ai recommencé à vivre. Même si parfois c’est difficile, j’y arrive de mieux en mieux.

Anna, quel choix. L'histoire du personnage est touchante et j'ai bien aimé le fait qu'on puisse retrouver plusieurs rôles de l'actrice en un seul personnage. Bienvenue officiellement sur mirii !
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(+) Kesako, je fais quoi moi ?
Tu fais à présent partie intégrante du forum, félicitations. Tu viens de franchir la partie la plus importante, celle de la présentation. Nous sommes ravis de voir que tu as survécu. A présent tu es libre de tes mouvements sur le forum mais, avant que nous te lancions dans la cage aux lions, voici quelques indications qui pourront t'aider à mieux te repérer. Tu verras, c'est plutôt simple.
- Tu as certainement déjà pris connaissance du règlement du forum et dévoré les annexes qui te serviront à placer ton personnage dans l'action, non ? Si ce n'est pas le cas je te conseille vivement de le faire avant de commencer à rp.
- Tu vas devoir gérer la vie de ton personnage avant de l'intégrer aux rps. Tout d'abord, créatures magiques ou humains, il y a mieux que vivre dans un carton sous un pont. Va donc faire une demande de logement et profite de l'occasion pour jeter un coup d’œil sur le listing. Pour connaitre tes futurs voisins.
- Ton personnage va également avoir besoin d'une ressource monétaire pour survivre, ne serait-ce que pour manger. (ou acheter des fringues décentes, c'est plus facile d’approcher un humain et le vider de son sang lorsque l'on a pas l'air d'un dangereux psychopathe sorti d'un asile.) Tout est à ta disposition dans les demandes et listing des métiers.
- Si tu es un(e) sorcier(ère) va donc jeter un coup d’œil à la liste des dons et recenser ton pouvoir avant qu'il ne soit trop tard, c'est important.


(+) c'était plutôt simple.
Lorsque tu as réussi à gérer ces quelques détails pour la vie pratique de ton personnage, n'hésite pas non plus à aller poster une fiche de lien. L'on ne peut pas exister sans relation dans un forum rp, ce serait étrange de rp seul, non ? Si tu as besoin d'un lieu pour l'évolution de ton personnage, rends-toi dans ce sujet. Par la même occasion, j'en profite pour te dire de ne pas hésiter à poser des questions au staff si tu as besoin d'aide dans la faq. Sois toujours au courant des nouveautés du forum. Parfois, cela réserve de nombreuses surprises.

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Je peux finalement te libérer, le flood est tout à toi ainsi que la zone de jeu. Le plus important, c'est que tu t'amuses dans cette nouvelle aventure.