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in a scale of one to tell Cersei you know
her secret how bad is your idea?
crédit/daily-dose-of-moose-being-moose ~ .

- nom : allistair. - prénom : reyes. - âge : trente ans. il estime que l'on devrait aussi avoir droit à une crise de la trentaine mais seulement parce qu'il lorgne sur les nouvelles lamborghinis. - nationalité et origine : de nationalité américaine mais du sang cajun coule dans ses veines. - situation amoureuse : absolument et complètement merdique. - occupation : il est médecin à domicile et plus récemment les clients surnaturels sonnent à sa porte. - race : humain, quatre vingt dix huit pourcent. avec un pourcent de gêne lupin et un pourcent d'extraterrestre. du moins c'est ce qu'on lui dit régulièrement. enfin, sa mère le lui dit. - orientation sexuelle : quelque part entre les femmes et les hommes. c'est plus facile de foutre la tête sous le sable. - particularité: un tatouage en forme de pentagramme orne sa poitrine. il a peur de s'être quelque peu fait arnaquer par cette femme qui se disait sorcière mais au final il le trouve plutôt sympa. et il ne reste plus qu'à y croire. y croire c'est déjà la moitié du chemin, non?. - célébrité : jared padalecki.

(+) Depuis combien de temps êtes-vous à la Nouvelle-Orléans ? Pourquoi être venu(e) ? Reyes est né à la Nouvelle Orléans, y a grandit, et y vit toujours. Quand il était plus jeune, il avait cette envie (clairement poussée par ses hormones) de vivre à las vegas mais heureusement (ou pas) il n’y a jamais mit les pieds. New Orleans est sa ville, il s’y sent chez lui et ne voit pas vraiment pourquoi il la quitterait. (+) Avez-vous déjà assisté à des choses étranges dans la ville ? Une fois il a vu un sans-abris donner un dollar à une femme pour qu’elle s’achète une jupe plus longue. Incroyable non ! Effectivement, Reyes a déjà été spectateur de choses plutôt étranges qu’il considère pourtant comme étant naturelles. Comme un homme se transformant en loup-garou ou une femme prenant l’apparence de son amant au milieu de la nuit. C’est ce qui l’a le plus choqué pour ainsi dire. C'est-à-dire qu’il y avait problème technique pour le coup.  (+) Avez-vous déjà été victime de quelque chose que vous n'expliquez pas ? En scientifique, Reyes part du principe qu’il y a une explication pour tout. Même s’il ne la connaît pas. Et pour le reste, il a tendance à essayer de ne pas se prendre la tête. C’est ainsi et pas autrement. (+) Vous sentez-vous bien en Nouvelle-Orléans ou voudriez-vous en partir ? Il n’a absolument pas l’intention de quitter la ville, encore moins aujourd’hui où i la l’impression qu’on pourrait avoir besoin de lui. Et puis l’herbe ne serait pas forcément plus verte ailleurs, simplement différente. (+) Êtes-vous conscient de ce qui se trame ? De tout ce qui se trame, surement pas. Mais Reyes se fait sa place, petit à petit et il a conscience des êtres surnaturels qui s’entassent pas ici. On ne peut pas dire qu’il n’a pas peur mais il essaie de relativiser, de toute façon il ne courrait jamais assez vite pour les semer. - crédit avatar: tumblr. -

Ses tics ou ses manies, ses défauts, ses passions ou encore ses goûts.  Pas d'erreur possible donc partagez avec nous les informations que vous jugez pertinentes.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.. ☆ écrire ici.

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crédit ~ quote/titre.

Un coup d’œil à son réveil lui apprend qu’il est bien trop tôt pour que quelqu’un essaie de détruire sa porte. – J’arrive, j’arrive. Qu’il crie à son visiteur nocturne tout en bougonnant dans sa barbe qu’à l’heure qu’il était, ils avaient bien de la chance qu’il ait les yeux ouverts. A peine a-t-il enfilé son caleçon que les coups reprennent de plus belle. Il renonce à passer quoi que ce soit d’autre et ouvre violemment la porte pour se retrouver en face d’un poing. Deux millimètres plus loin, c’était sa tête qu’il frappait, et plus la porte. Les yeux un peu trop écarquillés pour leur bien, il sent son cœur battre de nouveau. Un peu plus et il frôlait la crise cardiaque. Du moins, c’est ce qu’il pensait avant de se voir bousculer par un grand gaillard qui en portait un autre. Qui grognait. Il ne lui fallut pas d’autres indices pour comprendre qu’ils étaient loups et qu’il était à deux doigts de perdre son sang froid. Cela faisait trois loups, dans sa maison, à une heure parfaitement indue avec pour seule défense deux jambes humaines et un cerveau. Il avait beau être efficace, il aurait préféra avoir une hache à disposition. – Vous êtes médecin, non ? La voix du grand brun le tira de ses réflexions peu constructives et Reyes hocha vivement la tête. Un peu trop vivement car le blond lui emprisonna le menton pour qu’il arrête. Ah oui, il avait oublié d’arrêter. – Alors soignez-le. Oh. Soigner. Soigner il savait faire. Il pouvait le faire. Soigner c’était simple, c’était dans ses cordes. Après tout il était docteur, il soignait des gens tous les jours alors c’était faisable. Soigner oui, soigner c’était bien. – Maintenant. Le ton ne souffrait d’aucune contrariété aussi se hâta-t-il d’aller chercher sa trousse et un surplus d’instrument dont il aurait besoin au vu de la blessure. On disposa le blessé sur sa table et Reyes eut une pensée quelque peu déplacée pour sa pauvre nappe, héritage familial mais évita de la partager avec tout le monde. Mieux valait la nappe que lui. - Je peux sentir votre peur. Le dédain présent dans sa voix est si évident que c’en est presque insultant. – Ce n’est pas le genre de chose à dire à celui qui tient le scalpel. Il avait peur. Il avait peur en présence de trois loups-garous dont un avec suffisamment d’argent en lui pour le rendre particulièrement irritable. Qu’on lui fasse donc un procès.