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out of all these things I've done I think I love you better  
crédit/tumblr ~ quote/ed sheeran.

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(+) Depuis combien de temps êtes-vous à la Nouvelle-Orléans ? Pourquoi être venu(e) ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. (+) Essayez-vous de renier votre nature ou l'acceptez-vous ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. (+) Contrôlez-vous vos transformations ? Si oui comment ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. (+) Comment avez-vous déclenché la transformation ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. (+)  Quelle est votre opinion sur les vampires ? Sur les sorcières ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. (+) Êtes-vous le(la) seul(e) de votre famille à vous transformer ?   Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. - crédit avatar: marleen. -

Ses tics ou ses manies, ses défauts, ses passions ou encore ses goûts.  Pas d'erreur possible donc partagez avec nous les informations que vous jugez pertinentes.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.  ☆  écrire ici.. ☆ écrire ici.

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mettez ici la citation de votre choix.
crédit ~ quote/titre.

L'histoire est souvent la bête noire des joueurs, pourtant, n'est-ce pas le plus divertissant des moments ? N'est-ce pas maintenant que votre personnage prend réellement vie ? Le choix est absolument libre, des anecdotes, un journal, une interview. Ravissez nous avec votre plume, tout ce qui compte c'est que ce que vous nous présentez vous plait. Un minimum de 25 lignes sera toutefois demandé. De quoi nous permettre d'avoir un peu de matière.

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with the beast inside, there's nowhere we can hide.
crédit ~ quote/imagine dragon.

Hystérie. Tu es en train de considérablement baisser les doses. Pourquoi ? Oh, simplement, car tu es un très bon garçon. Mensonge. Tu n'es pas raisonnable, tu ne l'as jamais été, et tu as uniquement ralenti ta consommation puisque quelque temps plus tôt tu as dû choisir entre manger et sombrer dans la coke. Tes nouveaux camarades sont encore plus hypocrite que les anciens, pourtant la concurrence était difficile cette fois. Tu as séché les cours, comme tu l'as si souvent fait auparavant et personne n'est venu te chercher. Ça n'a pas d'importance, tu es toujours seul de toute manière. C'est tellement simple d'acquérir une arme de nos jours. Un type louche dans une ruelle qui l'est tout autant. Un joli paquet de billets qui changent de mains et un pistolet qui suit le trajet inverse. Tu ne feras jamais feu cependant. Tu as déjà tiré pourtant, un soir, avec des amis, dans un terrain vague, après une bigre de trop. Tu te souviens du bruit sourd qui déchire les tympans. Du recule de l'objet qui avait faillit emmener avec lui ton épaule. Tu n'étais encore qu'un gamin. La douleur t'avais submergé toutefois, elle n'était pas que physique, cette affliction. Tu as depuis abandonné l'idée, c'était trop morbide, même pour toi. Tu es incapable de faire du mal à quelqu'un. Donc tu ne manges pas, tu préfères la coke. Jusqu'à ce que ton corps ne suive plus le rythme. Maintenant, tu dois aller quémander tes produits d'une perversité méphistophélique. Tes os craques. Tu broies tes doigts entre tes mains. C'est de ta faute après tout, si tu avais un peu plus de courage tu serais allé dans l'obscurité de cette cavité malsaine et tu aurais acheté cet outil du diable. Une épicerie, cela aurait suffi et tu aurais eu de la nourriture. Après tout, tu n'as jamais eu d'âme, pourquoi tant de  peur ? Pourtant, il t'es impensable d'user d'un tel degré de violence. Ta bouche est amère de dégoûts. Ton crane est douloureux. On est en train d'écarteler ton âme. Tu as si mal, depuis trop de temps. Tu es seul, tellement seul, toujours seul. Tu manges maintenant mais, au moins la coke te faisait oublier. La souffrance.

Plus les temps passaient et plus il se sentait proche de Clarissa. Elle était l'une des rares personnes sur lesquelles il pouvait compter à chaque instant. En bas de l'immeuble il pouvait la voir. Toujours assise sur le rebord de sa fenêtre, les jambes flottant dans le vide, elle attendait sa venue depuis peu. il attendait sa venue depuis peu. La lune rayonnait sur la surface lisse de l'eau du bassin de son jardin, laissant par endroit une traînée de diamants flamboyants. Le clapotement régulier de l'eau se brisant contre la berge miniature venait troubler le silence d'une nature en plein repos.  La chaleur semblait avoir chassé toute vie alentour. Une légère brise peinait à se faire sentir, mais la fraîcheur qu'elle apportait lui caressait délicatement le visage faisant danser ses cheveux autour de son visage. Une fine goutte de sueur perla de son front tandis que le vent chatouillait ses pieds nus. C'était une magnifique nuit d'été. Les vacances et la fin des études étaient proche, cela se sentait, ça embaumait l'air en une harmonieuse mélodie. Perdu dans sa contemplation du paradoxe de la nuit, si paisible et pleine de vie, Clarissa n'entendait pas l'approche délicat d'un corps indubitablement masculin. Ce fut que lorsque cet étrange aventurier nocturne décida d'escalader la longue balustrade de bois blanc qui était accolé à la demeure qu'elle perçut sa présence.  « Je t'ai connu plus ponctuel. » lui fit-elle remarquer d'un ton neutre alors que son ami parvenait difficilement à le rejoindre. « Et moi, je t'ai connu plus patiente. » Répondit-il, davantage par insolence que politesse. « T'es parents n'auraient-ils pas encore ajouter de nouvelles plantes sur leur installation ? »  Ses mots avaient glissé hors de sa bouche alors que la jeune fille se déplaçait vers la droite pour facilité l'entrée dans la pièce à son visiteur nocturne qui s'hissa à la force de ses avant bras. Finalement ils restèrent tous les deux adossés à la bordure de la fenêtre, comme à leur habitude. « Eux, non. Ils ont cependant demandé au jardinier  de mettre des roses blanches. » corrigeât-elle, une moue sarcastique encadrant son minois angélique. « Les préférés de maman. » Mi-figue, mi-raisin, Bastille commençât à retirer de ses cheveux ambré les quelques feuilles verdâtres qui s'y étaient logés durant sa périlleuse escalade. Doucement, en pesant ses gestes, Clarissa lui vint naturellement en aide tandis qu'elle frottait vivement les égratignures rosés que les épines du romantique arbuste avait engendré sur ses mains. C'était un ruisseau d’électricité qui les traversaient. « Je m'en doutais. Habituellement ce n'est pas aussi contraignant d'arriver dans ta chambre mais aujourd'hui je me suis senti comme retenu par des milliers de petites griffes acérés. » Dit-il les lèvres pincés en un rictus bougon avant de se pencher vers le vide, pour calmer les battements de son coeur. Clarissa leva alors les yeux au ciel devant sa mascarade. Face eux, ce qui ressemblait vaguement à un merle dans l'obscurité de la nuit, virevoltait joyeusement. Il enchaîna cabrioles sur cabrioles comme heureux d'avoir malgré l'heure  tardive des spectateurs pour admirer ses prouesses acrobatiques. Plus jovial que jamais, il offrit au couple muet d'admiration, un ballet digne des plus grands théâtres du monde. Le jeune retardataire trouva la manière dont les yeux de son amie avaient de briller face à ce charmant spectacle d'un indicible charme.  « Tu sais Clarissa » soufflait-il tout en brisant la quiétude qui les avaient langoureusement enveloppé. « La maison possède également une porte principale. Elle est de surcroît assez voyante vu sa grandeur donc je ne sais pas pourquoi je ne pourrais pas simplement faire l'effort de l'utiliser au lieu de toujours venir te voir en hors-la-loi... »  Prenant lentement conscience de ses paroles, la prénommée Clary ouvrit grand la bouche avant d'éclater d'un rire sonore. Quoi que surpris par sa réaction Bastille ne put s'empêcher de la rejoindre. C'était sa Clarissa qui lui faisait maintenant face, qui riait avec lui. Pas celle que la société voulait qu'elle soit, ni celle de ses frères ou de ses parents. Cette facette de sa personnalité, parfois joyeuse et colérique, capricieuse et rêveuse, n'appartenait qu'à lui, car personne d'autre ne la connaissait. « Ainsi mon père sera immédiatement informé que sa fille  est  rejointe à la nuit tombée par un garçon dans sa chambre ? Certainement pas, je ne suis pas folle à ce point. » Sa tirade fut entrecoupé par des gloussements mais, son compagnon en compris l'essentiel. Il répondit quasiment la seconde suivant sa fin. « Ce n'est pas comme si nous faisons quelque chose de mal. » Attendris par son expression, le jeune homme laissa sa main droite glisser entre eux, caressant celle féminine du bout des doigts. Des vagues de frissons les percutaient à présent. « Mais nous pourrions, c'est suffisant. » Les mots avaient fendu l'air comme un fouet alors même qu'ils avaient étaient prononcés avec une douceur sans pareille. Leurs mains se mêlaient l'une à l'autre tandis que leurs regards se perdaient dans le vide sous leurs pieds. Leurs sangs cognaient dans leur veine et l'on pouvait seulement percevoir dans la pièce le bruit saccadé de leurs respirations chancelantes. C'était une autre de ses nuits magiques que les jeunes rêveurs avaient l'habitude d'échanger. Une nuit où ils oubliaient le monde qui les entouraient pour se concentrer uniquement sur les irrégulier battements du coeur de l'autre

« Action ou vérité ? » Avait elle soufflé entre deux bouffés de sa cigarette avant de laisser glisser la noisette de son regard dans celui du jeune homme. D'un même mouvement, les deux adolescents se révélait pour se faire face. La nuit avait déjà engourdis leurs membres, il faisait plutôt sombre dans le parc à cette heure-ci et la brise de l'hiver lui arracha une vague de frisson. « Action. » Dit-il dans un sourire avant de lui voler la cigarette entre ses doigts et la porter à ses propres lèvres. Une exclamation de surprises échappait du carmin de sa bouche mais, elle était si habitué à ses mauvaise manière qu'elle n'en fit rien. Aujourd'hui encore Bastille avait réussi à convaincre Clary de sécher les cours et passer la journée à trainer, elle n'était pas très difficile à faire craquer. Leurs pas les avaient guidés vers le bords du bayou, les effluves de l'eau rancis, de la boue, embaumait l'atmosphère. Un sourire se dessinait sur son visage, rien n'était jamais normal avec la jeune femme, quoi qu'ils fassent, où qu'ils aillent, ils se devaient de colorier le monde de leurs propres originalités. Parfois pour effacer la peine, la douleur, toute cette affliction qui embaumait leurs vies. Clarissa c'était un mystère depuis toujours. Une forme absconse, bercé par la brume, qu'aucun être était capable d'agripper. Souvent elle échappait à Bastille lui-même mais, étrangement, c'est ce qui lui plaisait le plus dans leurs relations. Derrière cette apparente lisse, presque trop parfaite, vous pouviez vous heurter contre la rugosité de son âme. « Tu vas aller me chercher un café. » Dit-elle soudainement, tout en pointant du doigt un Starbuck un peu plus loin, à peine éclairé par un lampadaire en mauvais état. Il fallut un moment à Bastille pour comprendre avec exactitude sa demande. « C'est tout ? » Incrédule, sa main caressait l'arrière de sa nuque. « Tu veux que j'aille le voler, c'est ça ? » Depuis la tendresse de leurs enfances, Clary et lui avait comme habitude de se donner des défis idiots. Il lui avait fait mangé du carton, une boite presque entière. Elle préférait davantage le mettre dans l'embarras,  lui faire voler des sous-vêtement à sa voisine, dans le panier à linge, partir d'un restaurant sans payer. Ils leurs arrivaient de se mettre dans des situations dangereuses, assez régulièrement mais, cela aussi, ça plaisait à Bastille. « Non, tu peux payer si tu préfères. » Devant sa mine pincé, sa moue devint davantage sardonique. « Mais tu vas devoir y aller avec  ton caleçon comme seul vêtement. »  Une bouffé sur la cigarette et la fumée les caressaient de ses fragiles bras, un touché atone, un peu amer. Ses cheveux volaient avec la brise, au rythme du vent. C'était un bruissement semblable à celui du tissus mais, plus délicat. « Je peux garder mes chaussures ? » Demandait-il tout en passant son t-shirt par dessus sa tête, comme si se dévêtir au milieux de la rue était la chose la plus naturel au monde. Une légère rougeur teintait les joues de la jeune femme alors qu'elle évitait de fixer le torse qui lui faisait face. (uc)