Zola Næss › MOTS DITS : 109 › banks : 178 › PSEUDO : Emmecie › JOUE SUR MIRII : 28/11/2013
| Sujet: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER Jeu 5 Déc - 4:34 | |
| PHINEAS "FINN" O'GRADY☆ ☆ ☆ Possession : tension vers l'infini, délicieux désespoir, appréhension momentanée de la béatitude. crédit/tumblr ~ quote/françois brunante.
- nom : o'grady. sa famille a émigré aux états-unis depuis l'irlande y'a de ça deux voire trois générations. il y a suffisamment séjourné pour posséder dans son parler des traces de son ascendance. - prénom : phineas. personne, évidemment, ne l'appelle comme ça. c'est même rare qu'on l'appelle, mais lorsque ça arrive, c'est finn règle générale. ou connard, ça lui sied bien aussi. - âge : trente-six ans. - nationalité et origine : il est américain, mais il est irlandais par le sang. - situation amoureuse : il est marié. - occupation : écrire ici. - race : je le vois bien lycan, mais humain peut me convenir aussi. - orientation sexuelle : hétérosexuel. - particularité: au choix - célébrité : michael fassbender, peu négociable, mais vous pouvez tout de même tenter le coup. | (+) Abracadabra C'est en Irlande, au royaume de ses ancêtres, que Phineas a fait jaillir ce loup qui sommeillait en lui. Il était complètement bourré, et ce connard l'a provoqué. Il a frappé sans savoir où s'arrêter, sans savoir où cela le mènerait. Il n'a pas fait de taule - faut savoir que sa famille y est, pour les lignées encore présentes, très influente - et s'est retrouvé confronté à son côté lupin qui ne s'est plus jamais tu. Forcé de dissiper les soupçons, de passer pour une type à peu près recommandable, il s'est trouvé une femme, lui a fait un enfant - un gamin de quatre ans - et s'est installé ici, bourgade sans histoire où il s'est assuré de ne pas trop faire de vagues. Mec sans histoire, un peu porté sur la bouteille et amateur de femmes, fils d'un homme d'une branche déchue d'une famille appartenant à la scène politique d'Irlande. Il s'est rangé pendant un temps, ces cinq dernières années pour être tout à fait exact, et maintenant le loup aspire à déplacer cet air qu'on lui a refusé pendant beaucoup trop longtemps. On commence comme on peut, s'investissant dans des affaires louches en ville, pariant ici et là, jouant le mec recommandable quand ça lui dit et s'amusant à ne plus l'être du tout une fois les lumières éteintes. Les siens lui sont inestimables et si la famille demeure une valeur prisée par l'irlandais, celle de déchaîner les passions commencent à causer des débordements... - crédit avatar: starksideofthemoon. - |
le Destin charmé suit tes jupons. | (+) Zola Naess: Elle n'est rien d'autre pour lui qu'une gamine curieuse, un peu rêveuse, à qui on peut entreprendre son corps en échange d'une bonne histoire. Le meilleur, c'est qu'elle n'est ni journaliste, ni reporter, et c'est tout juste s'il n'est pas tentant de voir jusqu'où la curiosité maladive de la jeune femme peut être monnayé, qu'a-t-elle à offrir de plus sa physionomie attirante? Car il le croit, il peut entièrement la posséder s'il use de charisme, de charme et qu'il choisit judicieusement les mots. Posséder, c'est le truc de Phineas, quelque chose qui l'inspire et qui fait ressortir les côtés les moins reluisants de lui-même. Il était ainsi bien avant d'être mi-homme, mi-loup. Impulsif, imposant sa volonté par la force s'il le jugeait nécessaire. Avec elle, la violence n'est pas une solution, du moins elle n'est pas envisageable pour le moment. Avec elle, les mots sont suffisants, et il y a longtemps qu'il n'a connu situation aussi rafraîchissante que pas désagréable du tout. Pour lui, en tout cas. Voici un extrait de ma fiche où il intervient (PDV Zola, évidemment) - Spoiler:
« Raconte-moi encore » que je souffle, café entre les doigts, bordée par les bulles et l'eau brûlante qui vient s'arrêter à la hauteur de mes clavicules, là où m'enserre deux bras puissants. Il a peut-être dans les trente, trente-cinq ans, je m'en fiche éperdument. Il a du vécu, et cela est digne d'intérêt. Il a vu de ces choses que je rêve de voir, vécu de ces aventures pour lesquelles je me consume d'envie et a connu de ces personnes qui m'insuffle des bouffées de jalousie. Il parcoure du bout de son nez ma chevelure jusqu'à y découvrir mon cou, y frôlant ses lèvres avec une douceur calculée. Accolée contre son torse, j'ai une sainte envie de faire volte-face et l'obliger à raconter les splendeurs et merveilles qu'il a eu l'occasion de voir et de vivre alors que je suis ici, excitée comme une puce à l'idée de découvrir son récit, de le connaître sous chaque couture et de chaque angle comme si je l'avais moi-même vécu. De plus, pour ne rien y gâcher, sa voix chaude et éraillée me donne encore plus envie qu'il se remette à parler, de tout et de n'importe quoi, ça n'importe peu. Pas plus que le fait que son gamin de quatre ans dorme dans la chambre à côté et que sa femme soit occupée à quelque endroit, exerçant profession ou loisir, alors que je suis ici, chez elle, à me languir d'impatience pour que l'homme déballe son sac. Après, peut-être, aurais-je honte de mon comportement, peut-être bien, mais rien n'est certain. Ici et maintenant, je me fous de tout et de tout le monde, simplement je veux rêver et comme il y contribue, je n'aspire à rien d'autres. Le bain sur pied supporte nos deux poids, l'eau tangue alors que j'arque mon corps légèrement de façon à croiser son regard « Ne me laisse pas m'impatienter, ça me fait horreur ». Il sourit, cherche à venir chercher ma bouche que je lui refuse de nouveau. Cela l'agace royalement, mais pourtant il reste là, son sourire aux lèvres, sans doute intriguée par cette jeune rêveuse qui cherche à vivre une aventure coincée là, entre ses bras. Il n'a pas tord, je n'ai qu'à me lever, m'habiller et foncer droit devant pour vivre quelque chose. Je reste pourtant ici, ma paume venant glisser sur son bras, descendant sur son avant-bras pour venir s'enrouler autour de sa main puissante. Si j'ai une profonde affection pour les voix, je voue également un culte certain aux mains masculines, puissantes et viriles. Allez savoir pourquoi, d'ailleurs. Je meurs d'envie d'y faire courir mes phalanges, mais je me contente que de la ramener contre moi, posée sur ma poitrine qui se soulève au fur et à mesure que ma respiration s'accélère. Je veux qu'il parle, qu'il quitte ce silence qui m'agace alors qu'il tait cette voix qui m'a entraînée ici, au creux de ses bras, au sein de sa maison et dans sa vie. Sans cela, je serais loin, près de mon magnétophone à écouter quelque histoire de la main d'un conteur « Si je te parlais de la Nouvelle-Zélande, ça te plairait? ». Mon air s'adoucit, ma moue reprend son air boudeur habituel et mon regard pétille comme celui d'un gosse à Noël. Ça semble lui plaire que son étreinte se renforce alors que je termine mon café pour mieux me laisser bercer par la suite par la magie de ses mots...
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Dernière édition par Zola Næss le Jeu 5 Déc - 5:00, édité 4 fois |
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Zola Næss › MOTS DITS : 109 › banks : 178 › PSEUDO : Emmecie › JOUE SUR MIRII : 28/11/2013
| Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER Jeu 5 Déc - 4:34 | |
| mes petites exigences☆ ☆ ☆ Déjà, je suis ravie qu'on puisse s'arrêter à valider par de possibles contraintes l'intérêt que l'on porte au scénario. Je ne demande pas monde et merveilles, seulement une présence régulière, entre les 4 et 5 jours par semaine, quelques rps ici et là d'une longueur raisonnable, histoire de faire avancer les choses tout de même assez rapidement. Je ne suis pas un dictionnaire, mais j'aime bien qu'un texte soit lisible et non pas criblé de fautes. Je ne compte pas en faire une histoire d'amour à la conte de fée, ni même une histoire d'amour tout court. Je spécifie, je veux que ce soit à la limite malsain, éprouvant et troublant pour elle, amusant pour lui, quitte à ce qu'il se prenne au jeu et se refuse à ce qu'elle puisse être et aller voir ailleurs. Sinon, je vous aimes déjà, et si Fassbender vous bloque, je suis ouverte à la discussion, mais faudra user de finesse parce que Fassy, je l'ai dans la peau . |
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